Du point de vue de l'utilisateur...
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La différence de comportement est flagrante, grâce à la rigidité supérieure du châssis de la Porsche et son moteur en position centrale. Elle est nettement plus précise, vire comme un kart et freine avec puissance et progressivité. Par contre, petite déception moteur à bas régime car le 2.7 s'avère moins coupleux que le 2.8, mais au total le Boxster en donne largement plus qu'il n'en fait perdre |
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Les + du Z
Couple élevé et belle sonorité grave en dessous de 2500 T/mn Design plus harmonieux de l'habitacle Cruise control Rayon de braquage plus court Meilleure visibilité arrière (créneaux) Réglage électrique de l'assise des sièges Essuie-glaces mieux conçus Plus agréable pour conduire coude à la portière (ceinture de caisse plus basse)
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Les + du Boxster
Allonge puissante et sonorité rageuse jusqu'à 7200 T/mn Finition supérieure, moins de bruits de structure Capote électrique, doublée, avec vitre dégivrante Hard-top et jantes hiver pour un deuxième look Bonne installation audio. Meilleur soutien latéral des sièges Cuir perforé (aération) Dossiers rabattables avec aumônières, réglage électrique de l'inclinaison. Volant plus petit (mais moins esthétique), réglable en hauteur Climatisation automatique Ouverture électrique des coffres (pourvu qu'il y ait de la batterie...) Tachymètres analogique et digital Niveau d'huile au tableau de bord Fonctions de l'ordinateur de bord Taille des caractères d'affichage pensée pour les presbytes Tous les commutateurs sont éclairés Verrouillage automatique des portes Alarme de ceintures de sécurité non bouclées Plus de rangements dans l'habitacle, et deux coffres à bagages (260 L) Airbags latéraux Arceaux de sécurité Coupe-vent bien intégré Position de la clef de contact. Alarme antivol plus sophistiquée (et en état) Consommation plus basse et autonomie supérieure
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